
Ode pour « El »
La Tour Eiffel n’a qu’une L
pour ne pas qu’el puisse s’envoler.
El reste les pieds sur Terre,
masculine.
Tel un phare dans Paris,
el guide les passants et visiteurs
à travers les marées humaines agitées.
(Corinne Descamps)

Au loin, la Basilique du Sacré-coeur, céleste en haut de sa colline naturelle, Montmartre.
Tout devant, la place Georges Pompidou et ses passants, des dessins aux apparences mystiques laissés au sol. Et l’atelier Brancusi au toit recouvert d’oiseaux profitant du soleil déclinant, en bas à droite.
La canopée des toits sous un baldaquin de nuages. Frondaison de tuiles et cheminées qui laissent deviner la vie, …..en bas, ….là-bas.
Paris comme un gâteau à découper. On y découvre, sur une pâte fine, mousses chocolatées et délices fruités, recouverts de meringue aérienne.
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